La vie du rail
Cloisonnage 1 commentaire »Que ne vous sentez-vous submerger d’une émotion grandissante à mesure que votre intuition vous le dit : la saga du BA13 reprend ! Chanceux que vous êtes. Et moi donc alors ! Je mesure, je coupe, je tronçonne, je meule, je positionne, j’assemble, je tâtonne, je peaufine, je fixe, je teste, j’éprouve, je m’esbaudis, me ravise, me ravis, m’interrompt. En un mot, je B-A-treizize. Le maître-mot : adaptabilité. Le mot me fait frémir, déformation professionnelle sans doute. L’adaptabilité, dans mon univers, c’est, dans un ascenseur seul avec une autre personne, péter bruyamment et réussir à faire croire à l’autre que c’est lui. C’est présenter un produit x, tout en pensant y, et réussir à faire comprendre z. Tout un art.
A présent, travaillons les fondamentaux
Certes, ça n’est que mon avis, mais préférez des vis autoperceuses à la pince à sertir. Cela offre un quadruple avantage : accessibilité d’abord (un peu), solidité de l’ensemble ensuite (un peu plus), démontabilité encore (un peu mieux), et simplicité enfin (surtout, notamment quand les assemblages se compliquent, autour des fenêtres par exemple).
Certains se plaignent parfois que la seconde couche percée se dérobe sous la pression de la vis (ailes des montants). Cela n’arrive pas avec une vitesse de rotation suffisante et des vis de qualité.
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